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Selon une récente étude publiée par LinkedIn Learning, la créativité est la compétence comportementale la plus recherchée par les recruteurs dans le monde ! Une compétence à cultiver donc, et à valoriser en entretien de recrutement.

Aléas économiques, mutations technologiques, transformation des métiers… plus moyen d’y échapper ! Il faut faire preuve d’adaptabilité et de flexibilité désormais. Être capable de faire évoluer son positionnement, son organisation, sa façon d’aborder les problèmes… de se réinventer en permanence et donc de faire preuve de créativité ! Cette compétence arrive ainsi sans surprise en tête des aptitudes attendues par les entreprises. Quels que soient les métiers ou les fonctions occupés par les collaborateurs, aujourd’hui les recruteurs sont attentifs à la capacité des candidats à proposer de nouvelles idées.

Des profils qui font mouche

Pourquoi ? Parce que les créatifs rassurent. Ils sont en mesure d’apporter des solutions lorsque certains problèmes surgissent, grâce notamment à leur aptitude à réfléchir « hors du cadre ». Les meilleurs peuvent même être à l’origine d’innovations qui peuvent constituer une véritable valeur ajoutée pour leur société. Parce que leur état d’esprit a également un effet stimulant sur l’ensemble d’une équipe. La capacité à fédérer et à travailler en équipe étant deux autres « soft skills » convoitées par les recruteurs. Parce que les managers peuvent enfin s’appuyer sur ces profils qui sont force de propositions, autonomes, tournés vers l’avenir…Une façon d’être et d’aborder les choses donc. Un potentiel plus ou moins développé selon sa personnalité, mais que tout le monde peut toutefois travailler par le biais de techniques simples et accessibles.

L’optimisme par nature

La créativité repose avant tout sur la capacité d’un individu à prendre conscience qu’il existe un problème et à l’accepter. Une personne créative ne doit donc pas avoir peur du changement, mais au contraire l’aborder comme une opportunité. Ne pas craindre non plus l’échec, puisqu’il fait partie du processus. Être capable d’optimisme donc. D’ouverture d’esprit et de curiosité également, pour favoriser l’émergence d’idées nouvelles… en veillant cependant à ne pas se perdre parmi toutes les pistes envisagées et à rester ancré dans la réalité. La finalité étant bien sûr de trouver une solution efficace et réaliste.

Si 85% des métiers que nous exercerons en 2030 n’existent pas encore, alors, il a fort à parier que 100% des problèmes à résoudre nécessiteront de penser différemment. Et si on s’y mettait tout de suite ?

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